GABI HARTMANN
Gabi Hartmann s’impose avec un style mêlant pop, folk, jazz, soul. Chanteuse multilingue, elle brouille les frontières musicales pour raconter ses émotions à travers une voix douce et envoûtante. Après un premier album éponyme en 2023, salué par la critique, écouté plus de 20 millions de fois et vendu à plus de 15 000 exemplaires, elle s’est produite dans de nombreux festivals prestigieux tels que Montréal Jazz Festival, Jazz à Vienne et les Francofolies. Son premier album lui a valu de gagner le prix de la nouvelle artiste internationale au Japon (Japan Golden Disk Award), et de collaborer avec de nombreux artistes tels que Louis Matute, Jesse Harris, Julian Lage ou Oan Kim. Avec La femme aux yeux de sel, son deuxième album, Gabi nous raconte l’histoire de Salinda, une femme d’une île imaginaire, qui voyage à la recherche des secrets d’un monde intérieur et du monde qui l’entoure. Ce conte initiatique explore l’histoire universelle d’un personnage traversant des épreuves, passant de l’innocence aux désillusions jusqu'à l'état de sérénité. À travers ses chansons, Gabi partage son parcours de vie de femme mais aussi sa relation à la nature, aux relations humaines et à la mélancolie. Inspirée par de nombreux artistes, elle rend hommage dans cet album aux voix de femmes qui l’ont marquée comme la voix de Miriam Makeba ou de Mercedes Sosa. L’album se distingue par des collaborations fortes : la flûtiste syrienne Naïssam Jalal sur Le lever de soleil, Laurent Bardainne sur Love High et The Oracles Sisters sur Drink The Ocean. Les cordes du compositeur brésilien Maycon Ananias magnifient ce disque comme sur le morceau Mélancolie. Avec sa poésie nostalgique et ses influences multiples, Gabi crée un univers onirique où styles et époques se fondent pour offrir une œuvre riche et personnelle.
Sorties :
12.01.24 : Single “Nowhere to hide”
26.01.24 : EP “Little Songlines”
8.11.24 : Single “Take a swing at the moon”
13.12.24 : Single “Le lever du soleil”
24.01 : Single ‘Into my world’
21.03 : Album “La femme aux yeux de sel”